Plan cul avec une étudiante d’Orléans
Une jeune étudiante libertine nous raconte son expérience de gang bang dans un sexshop devant son copain. La confession intime d’une expérience et d’un moment charnière de leurs vies. Le récit de cette aventure riche en détails saura séduire nos lecteurs mais ce qui s’est passé met déjà leur relation sexfriend en péril.
Confession intime d’une étudiante partouzée devant son copain par les clients pervers d’un sex shop
Je suis Madeleine, 24 ans, et j’adore Orléans, cette ville où les secrets se murmurent au bord du fleuve. Mais la vie ici n’est pas toujours facile, surtout quand l’argent manque. J’ai dû me mettre en coloc pour survivre, et c’est comme ça que j’ai rencontré Oscar, 28 ans, sur rencontre-une-etudiante.fr, cherchant un ami-amant pour une relation sans attaches. On est devenus colocataires, et notre relation sexfriend était censée apaiser certaines tensions, rendre la vie plus légère. On était des super potes de baise, sans complications, mais la routine a commencé à s’installer, et on a voulu pimenter nos ébats.
Il me propose d’aller au sexshop
Un soir, Oscar, sentant comme moi que notre dynamique s’essoufflait, a eu une idée : « Si on allait au sexstore acheter de la lingerie et des godes ? » Ça semblait être le coup de pouce qu’il nous fallait pour raviver notre flamme. On s’est donc dirigés vers un sexshop discret près du centre d’Orléans, espérant y trouver de quoi raviver notre désir. La ville, avec ses lumières tamisées et ses ruelles secrètes, semblait approuver notre quête de plaisir.
On rentre dans le sexe shop et je me fais directement peloter par les clients à cause de mon look de salope
Arrivés au magasin, l’air était chargé d’une tension presque palpable. La lumière tamisée donnait aux objets exposés un éclat mystérieux, les bruits des vidéos pornographiques en fond sonore ajoutant à l’atmosphère érotique. J’avais choisi une jupe courte, consciente de l’effet qu’elle aurait.
Des mains sur mes cuisses et sous ma jupe
Le barbu, dont la barbe semblait absorber la lumière, s’approcha, sa main effleurant ma cuisse avec une assurance qui me fit frémir. Le binoclard, avec ses lunettes épaisses, ne perdit pas de temps, glissant une main sous ma jupe, ses doigts explorant ma chatte déjà humide sous le regard d’Oscar, dont le visage reflétait un mélange d’excitation et de honte.
Barbu : « Regarde-moi ça, elle aime qu’on la touche. Ta petite copine est une vraie chienne en chaleur. »
Oscar, à mes côtés, ne savait plus où se mettre, son visage trahissant un mélange d’excitation et de honte. Je pouvais voir dans ses yeux qu’il luttait entre l’envie de me protéger et celle de voir jusqu’où cela irait.
Les choses vont beaucoup trop loin pour moi
L’excitation monta à un niveau inédit, et je me laissai aller à cette débauche avec une avidité surprenante. Le barbu et le binoclard m’entraînèrent vers une alcôve sombre, où les autres clients, des hommes aux regards affamés, nous observaient. Le grand maigre, ses os saillant sous sa peau, força mes genoux à terre, sa bite dure contre mes lèvres. Je l’accueillis, sa chaleur et son goût m’envahissant, tandis que le musclé aux cheveux longs, dont les muscles semblaient sculptés pour le péché, m’ouvrit d’une façon que je n’avais jamais connue. Sa langue contre ma chatte était comme une révélation, chaque coup me faisant gémir, la sensation intensifiée par l’humiliation adressée à Oscar.
Je me fais bouffer la chatte devant mon sexfriend
Grand Maigre : « Regarde bien, ta pute est parfaite pour ça. Elle n’attendait que ça, se faire défoncer par des vrais mecs pendant que tu regardes. »
Musclé aux Cheveux Longs : « Regarde comment je lui bouffe bien la chatte, elle a bon goût, tu sais pas ce que tu perds ! »
Chaque mot d’humiliation semblait faire monter l’excitation d’Oscar, malgré lui. Sa confusion était palpable, ses yeux oscillant entre l’envie de participer et celle de fuir cette réalité où je m’abandonnais totalement.
Je me fais baiser par terre, comme une chienne
Ils m’allongèrent sur le sol, mon dos contre le carrelage froid. Le chauve tatoué, ses dessins tribaux semblant danser avec chaque mouvement, me pilonna en missionnaire en me roulant des pelles baveuses. Chaque coup de hanche me faisait trembler, la douleur et le plaisir se mélangeant en une sensation indescriptible. L’homme à la coupe en brosse écarta le chauve qui m’embrassait et força ma bouche, sa bite allant et venant avec une brutalité qui me fit gémir malgré moi, mon corps répondant à chaque assaut. Après cela, la levrette à quatre pattes comme une chienne, je ne résiste pas et me branle furieusement le clitoris.
Chauve Tatoué : « Ouais, prends ça, salope ! Tu aimes ça, hein ? Être baisée par un vrai homme pendant que ton couilles-molles de mec regarde comme un connard. »
Coupe en Brosse : « On va lui montrer comment on traite une vraie femme, elle va oublier ton nom après ça. »
Il me fait squirter de jouissance
Le plaisir monta en moi, intense et irrépressible, le mec me porte et me monte alors dos contre lui, sa force est surprenante, et là il me lâche plus. Moi je me branle rajoutant des doigts à sa queue et lui il me baise jusqu’à ce que je squirte, mon orgasme éclaboussant les jouets autour, une confirmation de mon abandon total à cette orgie d’humiliation et de désir.
Je reçois du sperme de partout
À la fin, les mecs me termine, et j’étais couverte de sperme, chaque homme ayant éjaculé sur moi, marquant mon corps comme un tableau de leur domination.
Barbu : « Elle est belle comme ça, pleine de notre foutre bien épais, regarde ça ! Ta meuf est maintenant marquée par de vrais hommes. »
Binoclard : « Tu devrais la remercier dis-il en désignant sa bite qui restait bien raide, grâce à elle ta copine vient de vivre mieux que toutes tes nuits avec elle. »
Mon sexfriend est choqué
Oscar était figé, ses émotions en pleine tempête. Il regardait, son désir évident malgré la honte, confronté à une réalité où je devenais le centre d’une attention indécente, chaque humiliation lui faisant ressentir son impuissance.
Retour à la Réalité, notre relation est en péril
Après cette expérience, on est retournés à notre appartement, moi couverte de sperme, lui avec un regard perdu. On a parlé de ce qui s’était passé, nos mots hésitants, nos regards cherchant à comprendre ce que cela signifiait pour nous. Orléans, avec ses ombres et ses secrets, avait été le cadre de cette soirée où le désir avait dépassé toutes nos attentes, laissant notre relation en péril et en suspens.
Certaines limites ne devraient pas être franchis, même dans le libertinage
La ville, qui avait été le témoin de notre débauche, semblait maintenant nous observer, attendant de voir si nous allions nous rapprocher ou nous éloigner, après avoir touché des limites que nous n’avions jamais envisagées.